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Le blog de Christophe

Le blog de Christophe

La Birmanie (Myanmar) de la côte ouest de l'Arakan, aux montagnes de l'état Shan, en passant par le delta de l'Irrawaddy, l'état Kayah, l'état Chin et les coins les plus reculés du pays... Vingt ans d'expérience à vous faire partager avant votre départ pour l'aventure.


Seul sur la plage à Gwa

Publié par Christophe sur 26 Décembre 2019, 15:47pm

Gwa Beach n'a rien à envier à sa voisine Ngapali, réputée comme la plus belle plage de Birmanie. Gwa, ce sont encore des plages désertes, des fronts de mer dégagés, de rares guesthouses, des villages de pêcheurs accueillants et aucun touriste à l'horizon.

Lundi 21 et mardi 22 octobre : Quand la chance me sourit pour aller de Mindat à Gwa

Aujourd'hui, c'est le départ de Mindat. Je remercie encore Monica pour son excellent accueil à la Se Naing Guesthouse. Le minivan que j'ai réservé arrive à l'heure devant l'établissement. Nous partons à 8 heures. Le véhicule est majoritairement occupé par des jeunes filles qui ont toutes le sourire. Mais ça va vite changer et le mal des transports va les rattraper. 

Il faut dire qu'on a le droit à une belle succession de virages et le chauffeur freine brusquement. Bref, les sacs en plastique sont bien utiles pour ces demoiselles. On arrive à Pakkoku vers 13 h 30, dans une chaleur suffocante. L'air des montagnes semble déjà loin.

Il faut maintenant que je parte à la recherche d'un bus pour Yangon et ce n'est pas gagné car la grande majorité des bus VIP de nuit affiche complet. Heureusement, je trouve un bus normal pour 19 h 30 à 13 500 k. Je n'ai pas vraiment le choix. 

Il me reste un peu de temps devant moi et je rejoins le centre de Pakkoku à pied. Une ville où je m'étais déjà arrêté par le passé et qui, à mes yeux, n'a rien de bien palpitant. Hormis un bon petit resto dans le centre qui sert des plats excellents à un prix dérisoire. Une salade de riz au poulet (1 000 k) délicieuse accompagnée d'un jus de citron (1 000 k).

Je remonte tranquillement la ville, m'achète quelques gâteaux pour le long trajet qui m'attend. A 19 heures, le bus démarre. Il est plus confortable que je ne le pensais avec un siège inclinable qui va me permettre de dormir un peu. Le seul reproche, c'est qu'à mi-parcours, des tabourets ont été installés entre les rangées de sièges, avant que ne prennent place de nouveaux passagers installés dans conditions très spartiates. Pas vraiment l'idéal.

On arrive à Yangon à 5 h 45. J'ai deux options : trouver un hôtel pas loin de la station de bus ou alors partir directement vers Gwa, ce qui me paraît peu probable. Un Birman m'indique une compagnie, New Generation, qui fait justement le trajet jusque Gwa. Je m'y rends et demande un billet pour le lendemain jusqu'au moment où on m'annonce un départ à 6 h 30. Je demande s'il y a de la place dans le bus du jour et me voilà embarqué dans un bus VIP (16 000 k) avec un excellent siège qui me permettra de récupérer des longues heures de trajet de la nuit dernière.

C'est parti pour 8 heures de bus, un peu plus même avec une fin de parcours dans les montagnes et une végétation dense. On traverse quelques villages en bord de route où une des rares distractions des enfants est de faire des signes aux bus qui passent. Hormis cela, une forêt primitive, des montagnes, quasiment aucune culture... Je me demande bien comment font les gens pour vivre ici.

Vient le moment tant attendu, on franchit une montagne avec en arrière-plan, la mer. On approche de ma destination. Le bus s'arrête dans Gwa, au milieu de nulle part. Personne ne connaît l'adresse de la guesthouse où je dois être hébergé, la Thalassa. Il faut dire qu'elle n'est pas encore connue des locaux car elle n'a ouvert qu'il y a quelques semaines.

 

Finalement un moto-taxi m'y emmène pour 1 000 k. La patronne de l'établissement n'est pas là, mais le personnel a été prévenu de mon arrivée. Je suis accueilli dans une belle maison de style colonial, entièrement réaménagée avec goût. Je me retrouve dans la plus belle des chambres et un balcon tout mignon. Une cuisine avec frigo et tout le nécessaire est à disposition des clients. 

Comme il y a aussi des VTT, aussitôt la douche prise, je file me repérer dans cette petite station balnéaire bien moins connue que Ngapali et qui pourtant, vous le verrez par la suite, n'a rien à envier à sa voisine.

En fin de journée, je me rends à l'embarcadère tout proche où j'observe les pêcheurs se préparer à partir en mer. Tandis que le soleil se couche entre la rivière, la mer et les cocotiers. Les enfants qui s'approchent de moi n'y prêtent pas vraiment attention et font des pitreries. Je suis déjà sous le charme de ce lieu paradisiaque encore éloigné de tout.

Mercredi 23 octobre : De plages en villages à VTT

Avec toutes ces heures de bus de ces derniers jours, je me suis couché relativement tôt et la nuit a été excellente, et au calme. Le personnel birman de la guesthouse a été très discret. Je profite de la cuisine pour me faire un petit déjeuner à l'européenne avec café, tranches de pain grillé, beurre. Ce matin, j'emprunte un VTT, bien décidé à aller de l'autre côté de la rivière comme me l'a indiqué par message le patron, un Français expatrié.

Me voilà pour 300 k dans le ferry qui assure trois traversées par jour. Il fait déjà bien chaud et j'essaie de trouver un coin à l'ombre entre les véhicules, tandis que des Birmans chargent encore d'énormes sacs.

 

Le bateau part et en à peine quelques minutes, on arrive de l'autre côté de la rivière, un endroit encore plus sauvage et où l'on trouve les plus belles plages de Gwa. Ceux qui disposent d'une moto ou d'un vélo, comme moi, profiteront de la route ou des chemins à travers les villages qui longent la mer. Ici, il n'y a quasiment pas de circulation et la plage est déserte.

Ce jour-là, je vais effectuer pas loin de 20 km dans un sens, seulement freiné par les travaux de la future route entre Pathein et Gwa. Un long parcours durant lequel je n'ai pas vu passer le temps. D'abord parce que le début du parcours avec une route bétonnée se fait très facilement et avec de jolis points de vue sur la mer.

Ensuite parce qu'il y a de charmants villages, agréables à traverser à pied. Selon l'heure, ils sont plus ou moins animés. Mais il vaut mieux s'y perdre le matin ou après 16 heures, car entre midi et le début d'après-midi il fait très chaud et plutôt le moment de la sieste pour les locaux. Comme toutes les maisons disposent de grandes ouvertures sur l'extérieur, on y voit les Birmans dormir durant les heures les plus chaudes. 

Après les villages, il y a toutes ces belles plages où l'on peut se promener et parfois y faire du vélo selon si la marée est basse ou pas. J'en ai aussi profité pas mal de fois pour poser le vélo et piquer une tête dans cette mer à la température étonnamment chaude, trop chaude même parfois.

En gardant quand même un oeil sur mon vélo et mon sac. Mais sincèrement, il n'y a quasiment aucun risque de se faire voler. Déjà parce que les Birmans n'ont pas ce vice et ensuite, c'est que sur toute la journée, j'ai dû croiser 5 ou 6 personnes sur la plage : pêcheurs et ramasseur de noix de coco essentiellement.

 

Bref, on a un peu le sentiment d'être seul au monde, sur une île déserte. Le retour se fait par la même route, pas trop le choix car il n'y en a qu'une qui permet de revenir sur Gwa. Toujours avec des arrêts sur la plage en admirant les crabes se sauver avant mon passage et en plongeant dans cette mer relaxante.

A l'extérieur, il fait toujours lourd et il n'est pas simple de trouver une boisson fraîche dans les villages. Il faut souvent demander aux locaux pour savoir où il y a un vendeur avec un frigo qui fonctionne. 

En fin de journée, je regagne Gwa en traversant cette fois la rivière avec une barque capable d'emmener trois ou quatre motos et une petite dizaine de passagers. Mon vélo sera le dernier à embarquer.

Arrivé à Gwa, je vais manger au Junction café, c'est riz frit poulet ou riz frit porc. Pas beaucoup de choix, mais c'est propre et pas cher. Le soir, ce sera détente à guesthouse, les jambes un peu lourdes.

Jeudi 24 octobre : De Gwa à Kanthayar... ça use... ça use

Ce matin, je me lève tôt avec l'intention d'aller au marché avant 7 heures. Je vais y acheter quelques fruits dont d'excellentes petites bananes et des grosses crevettes que je ramène immédiatement à la guesthouse. Ce soir, un employé se propose de me les cuisiner.

Je pars ensuite pour un nouveau périple à vélo, plus éprouvant que la veille en direction des plages au nord. D'abord, il y a quelques bosses, la route est en bon état mais elle part à l'intérieur des terres, évitant la côte sur une majeure partie du parcours. Ce qui fait que je trouve le temps un peu plus long.

Le plus beau passage est après une belle montée qui donne sur la baie de Kanthayar. L'endroit est chouette, mais il y a pas mal de rochers. La mer semble aussi bien plus agitée qu'à Gwa. Le long de la route, il y a quelques guesthouses et des bungalows parfois loin de la mer et plus appropriés aux Birmans qui ne viennent pas spécialement ici pour nager, et encore moins pour faire bronzette.

 

Je m'arrête dans un resto et commande un Coca frais qui ne l'est pas vraiment car il n'y a pas d'électricité ici. Je poursuis ma route jusque Zego où un hôtel est en construction au bord de la plage. Je traverse l'établissement à vélo et croise le patron qui ne parle pas vraiment Anglais. Je me baigne à proximité de l'hôtel mais pas très longtemps car la mer est trop agitée à mon goût.

Je reprends le vélo sur le sable dur cette fois-ci et je tente de regagner Kanthayar par la plage. A un moment donné, je me retrouve bloquer entre la plage et une rivière que je ne peux pas traverser avec le vélo. Pas très rassuré, je fais demi tour car la mer monte. Finalement, des enfants me montrent un passage dans la végétation et ainsi regagner la route. 

C'est reparti pour un long périple jusqu'à Gwa, plus de 50 km l'aller-retour, sous une forte chaleur et avec une selle pas très confortable. Je m'arrête dans un autre établissement avec une vue magnifique sur la baie de Kanthayar, j'en profite quelques instants et repars avec de l'eau bien fraîche.

Je reviens épuisé à Gwa et retrouve le personnel de la guesthouse qui va me préparer les crevettes à la mode birmane. Je ne m'endors pas très tard, bien fatigué par le parcours du jour où je le reconnais j'ai peut-être été un peu imprudent en raison de la forte chaleur.

 

Vendredi 25 octobre : Et si je me la coulais douce

Aujourd'hui c'est décidé, je range le vélo. C'est à pied que je vais aller voir les villages de pêcheurs et profiter de la plage. Ca commence d'abord à proximité de l'embarcadère où je me balade entre les habitations et les cabanes de pêcheurs, là où le poisson est pesé et parfois découpé sur place dans des conditions d'hygiène parfois un peu limite avec toutes ces mouches qui s'agglutinent sur les poissons.

Ma présence amuse les pêcheurs, surprend les femmes qui font sécher le poisson, certainement peu habituées à la présence d'étrangers. Au premier abord, elles sont méfiantes, mais avec trois ou quatre mots de Birman et quelques sourires, le tour est joué et on passe très vite à de franches rigolades.

Un pêcheur m'offre le thé, pendant que j'observe la pesée. Des hommes veulent m'offrir des poissons que je me vois mal mettre dans mon sac à dos. Tandis que des femmes veulent m'inviter à manger des plats qu'elles dévorent avec les doigts. Finalement je reprends un thé en observant du coin de l'oeil un petit requin que l'on m'a proposé à 3 000 k.

 

Direction l'embarcadère où le ferry s'apprête à partir. De l'autre côté de la rivière, je longe les plages plus ou moins belles, plus ou moins propres aussi et toujours aussi sauvages. 

Je choisis les meilleurs endroits pour me baigner dans cette eau toujours aussi chaude. Il va sans dire que je n'ai pas croisé un seul touriste, ni aucun autre baigneur. Juste un homme qui cueillait des noix de coco, une femme qui revenait avec ses courses et trois pêcheurs qui s'apprêtaient à partir en mer.

Pour le reste, j'avais vraiment l'impression d'être sur une île déserte. Je vais passer un long moment dans l'eau. En milieu d'après-midi, je retourne tranquillement à la guesthouse où je retrouve l'ami de la patronne et un autre expatrié. On va justement pas mal échanger sur leur vie d'expatrié en Birmanie et sur leur amour pour la station balnéaire de Gwa. Même si station balnéaire est un bien grand mot car il y a encore tout à y faire.

Le soir, on va manger au Sea Horse, un restaurant pas mal du tout, propre et aux tarifs modérés.

Samedi 26 et dimanche 27 octobre : Plongée au bord d'une île déserte

Pendant ces deux jours, ça va être relâche à Gwa, avec de bonnes discussions autour de la Birmanie avec les expatriés, des échanges sur l'avenir de la côte où une nouvelle route entièrement aménagée est prévue dans un ou deux ans pour relier Pathein à Ngapali. Ce qui pourrait d'ailleurs inciter des investisseurs à s'installer ici en vue d'un probable développement touristique qui ne profite actuellement qu'à Ngapali.

Gwa, Kanthayar et bien d'autre plages encore inexplorées ont une belle carte à jouer. Durant ce séjour, j'ai eu la chance de visiter un resort tenu par des Françaises, un plus au sud de Gwa. Un établissement dans un lieu improbable, encore difficile d'accès mais quelle beauté.

Durant ce week-end, on va aussi faire du snorkeling. Bon ce n'est pas ma spécialité mais il faut reconnaître qu'il n'y a pas besoin d'aller bien loin pour voir de jolis poissons, de toutes les couleurs. Pas de chance, ce jour-là, les fonds n'étaient pas très clairs en raison de la marée.

Du snorkeling effectué aux abords de l'île de Gwa, à 20 minutes en bateau (comptez 25 000 à 30 000 k le bateau). Une île sans aucune habitation, où seuls quatre ou cinq pêcheurs viennent se poser sur une plage investie par les bernard-l'ermite. 

 

Mais ça ne m'a pas empêché de voir des poissons jaunes, bleus, rayés... Un moment agréable. Durant ces deux jours, j'ai aussi fait le tour des restos de Gwa avec notamment Ko Ko Nyi Nyi, bon repas et prix correct, le Sea Horse qui sert de bonnes frites et des salades de tomates excellentes. Et non loin de là, sur le trottoir opposé par loin du marché, Pan San Ein, un resto birman tout carrelé, avec certainement les prix les plus bas et qui sert des currys. On peut choisir sa viande ou son poisson en cuisine. Pour agrémenter le tout, c'est au petit bonheur la chance, on aime ou on n'aime pas.

Deux jours durant lesquels j'ai encore eu l'occasion de me baigner, de côtoyer ces pêcheurs qui partent en mer ou qui trient le poisson à leur retour, tâche qui revient aux femmes des villages. Les horaires ne sont pas toujours fixes. En général, les bateaux partent dans l'après-midi et reviennent dans les alentours de 5 heures du matin, parfois avant. Sauf qu'un matin, j'ai eu droit au retour d'un bateau rempli de poissons vers 9 heures.

Avec là encore, malgré la fatigue de toutes ces heures passées en mer, un pêcheur tout sourire qui veut absolument m'offrir une de ses prises. 

Les journées se poursuivent à arpenter ces petits villages où les habitants sont à moitié endormis sous l'effet de la chaleur. Rien de tel que mon passage à vélo ou à pied avant que les " Mingalabar " ne résonnent de maison en maison. Ce sont surtout les enfants qui viennent me saluer, parfois plaisanter avec que les adultes ne suivent.

Dans ces villages au bord de l'eau, ce n'est pas le grand luxe, mais leurs habitants ont malgré tout le sourire et semblent se contenter de peu. C'est-à-dire du poisson comme unique ressource.

 

Le dernier soir à Gwa, avec les deux expatriés, on décide de faire l'impasse sur les restos et de se cuisiner une salade maison avec des tomates achetées dans un commerce, agrémentées de fromage qui pour le coup était en stock dans le frigo. Puis des pâtes à la sauce tomate arrosées d'un petit vin français. Pas que je veuille échapper à la nourriture birmane, mais je peux comprendre la lassitude des deux Français qui eux sont en Birmanie depuis bien longtemps.

Lundi 28 octobre : Le départ de Gwa

Ce matin, avec un des deux Français, on va s'offrir une mohinga dans un étal de rue. Excellente, mais assez bourrative car la cuisinière y a intégré pas mal de crackers.

Je vais profiter de la voiture d'un des expatriés pour retourner à Yangon. On a décidé d'emprunter une autre route, celle longeant la côte vers le sud et rejoignant Pathein. Une route que les deux expats ne connaissent pas totalement. Ce sera aussi l'occasion de rencontrer une Française qui vient de créer un resort à 30 minutes de Gwa, avec des bungalows de très belle facture. Bon ça doit ouvrir cet hiver, ça ne sera sûrement pas dans mon budget mais ça valait le coup d'être vu.

On arrive sur les coups de 16 h 30 à Yangon où il faut encore supporter les embouteillages de la fin de journée. Avant de se quitter, on va dans un resto l'Alamanda, dans le quartier chic de Yangon, la Golden Valley. Un resto très prisé des Français et principalement des expats. Au menu un steak frites sauce roquefort dans un très beau cadre.

Quelques heures avant, j'avais réservé une chambre à la Casa Yangon Hotel, établissement où j'ai mes petites habitudes. Et qui en plus d'être propre, confortable et à un bon prix se trouve à proximité de l'embarcadère qui me permettra de rejoindre Bogale, demain matin.

 

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M
bonjour, pouvez vous me donner le prix pour une personne seule de la nouvelle guesthouse Thalassa à Gwa en kyats ou dollars? le patron français s'appelle t il Michel ??? car je connais un Michel à Gwa qui s'était installé.. mais il y a 4 ans merci dans l'attente de vous lire
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C
Bonjour, pour le tarif tout dépend à quelle période vous y allez. Mais en général c'est 20 dollars pour une personne. Le patron s'appelle Christophe.<br /> Bonne journée
Y
Bonjour, ton article m'a décidé d'aller à Gwa où j'ai passé 4 jours au Thalassa guest house:inoubliable. Je voudrais me rendre de Rangoon à Bogale en bus mais d'où partir exactement ? Se rendre à la gare routière Hlaing Thar Gar comme l'indique Gomyanmar ou un autre endroit ?
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C
Bonjour, que c'est bien de suivre mes aventures ! Pour Bogale, il faut traverser la rivière avec le ferry pour se rendre à Dala (quasiment en face du Strand Hotel), après l'embarcadère vous trouverez bus et minibus pour Bogale !
C
Bonjour, nous partons partons pour 15 jours de voyage au Myanmar. J'ai tenté de chercher sur les forum sans succès. Ma question pour paraître un peu bête, les femmes peuvent elles se mettrent en maillot de bain sur la plage ? Pour les hommes j'imagine que ça ne pose pas de soucis. Je précise que nous finirons le séjour sur les plages proches de Dawei.<br /> <br /> Deuxième question je porte une barbe est ce dérangeant au Myanmar ?<br /> <br /> Merci de votre aide.
Répondre
C
Merci pour votre aide
C
Bonjour, les Birmanes se baignent en teeshirt mais les occidentales pourront très bien se baigner en maillot de bain. Quant à la barbe, pas de souci, vous pourrez même tester un barbier birman

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